Je travaille actuellement à la rédaction d’un livre intitulé « A Darker Electricity ». Il traite du temps que j’ai passé sur la route au début des années 90, avec le sound system clandestin Spiral Tribe, un collectif organisant à travers l’Angleterre et l’Europe de larges fêtes gratuites et libres mais condamnées par la loi. Le gouvernement britannique nous a accusés d’être les meneurs d’une révolte si dangereuse, populaire et novatrice qu’il fallut modifier la loi pour la rendre criminelle.
Jamais auparavant dans l’histoire britannique, la stigmatisation d’une culture émergente et de sa musique n’avaient donné lieu a une loi.
Les promoteurs et les financiers ont-ils conspiré avec les législateurs en raison d’un évident manque à gagner ? Ont-ils sacrifié une génération de jeune à l’alcoolisme en entourant les espaces festifs à ciel ouvert de grillages et en renforçant les régulations à grands coups de fils barbelés ? Les portes de la fête libre, ouverte à tous et gratuite on été fermées de force. Reste à savoir pourquoi ? Etait-ce une question de nuisance sonore ou la crainte de voir apparaître un espace de liberté sans limites ?
Vous trouverez des extraits du livre à paraître sur mon blog : https://waywardtales.wordpress.com/book./ (en langue anglaise)
Mark Angelo Harrison
(aka Stray Wayward)
« Mark Angelo a une histoire fascinante à nous raconter, une histoire qui doit être entendue, celle de la culture rave et de sa confrontation avec l’état thatchérien. Son écriture est celle d’un grand cœur avec une vision acérée, une énergie communicative, des détails croustillants, un travail minutieux et la crédibilité d’un acteur de premier plan. »
Christopher P. Wilson
« Mark Angelo écrit avec talent… Son histoire de fondateur de Spiral Tribe, son évolution et sa confrontation avec l’état thatchérien présente un moment saisissant de l’histoire du 20ème siècle. J’attends ce livre ou quoiqu’il puisse produire avec beaucoup d’impatience. »
Barbara Trapido
« Mark Angelo est un écrivain fantastique, son récit plonge le lecteur dans la ferveur d’un mouvement tumultueux. »
Caroline Brothers